Jour du départ 27 janvier.
Départ imminent.
Embarquement dans quelques minutes.!!!!
Etant partie à 6h00 du matin de la rue des Plantes (Paris, 14ème), nous sommes arrivées sans encombre à Roissy en 45’. Chose assez rare à Paris. Cela nous a permis d’enregistrer nos bagages très tôt et par conséquence, faire partie des derniers à les récupérer à l'arrivée.
Je crois que je n’avais encore jamais fait autant de trajet pour passer de la zone d’enregistrement à la zone d’embarquement. C’est à n’y pas comprendre grand-chose. Enregistrement terminal 2 F et visiblement nous avons ensuite été dirigés en zone d’embarquement au bout du terminal 2 E. Mes 12 kgs de bagages cabine portés à bout de bras commençaient à m’épuiser sérieusement. Aurions-nous parcouru 700m à 800 m de couloirs que cela ne m’étonnerait pas. Sans doute récession économique, 1 seul poste d’enregistrement pour tous les vols AIR France ? Et puis, maintenant vous devez vous-même(obligatoirement) imprimer votre billet de vol aux bornes mises à disposition des voyageurs. Pour gagner du temps ou réduire le personnel ? j’ai pensé aux étrangers ou à ceux qui ne savent pas utiliser ces machines électronique, ce n’est pas si simple que cela.
Nous sommes arrivés sur le sol Malgache sous une pluie battante comme prévu à 23h mais sorties de l’aéroport à 1h30 du matin. Pourtant l’avion n’était même pas à la moitié de ses effectifs. Très bonne chose d’ailleurs car j’ai pu faire une bonne sieste dans l’avion en m’allongeant sur la banquette centrale, repos bien mérité tandis que Marie Sidonie s'adonnait à son jeu de cartes préféré. Les nuits précédentes avaient été très courtes. Une autre bonne nouvelle en arrivant m’a réjouie. Pour rejoindre la gare routière de Tananarive du lieu où nous étions hébergées proche de l’aéroport (dans une autre congrégation), il nous aurait fallu quitter à 4h du matin. Alors la sœur qui est venue nous chercher avait réservé le taxi-bus pour le 29 janvier afin de pouvoir nous reposer convenablement le matin et la journée du 28. Tananarive, une mégapole aussi encombrée par les embouteillages qu’à Paris.
Quand au climat, les chants d’oiseaux, des poules, des coqs…. la végé
tation, l’ambiance humide et lourde ne me sont pas inconnus. Je retrouve tous mes souvenirs de la période où j’avais vécu à l’île de la Réunion à St Philippe.
Je crois que je n’avais encore jamais fait autant de trajet pour passer de la zone d’enregistrement à la zone d’embarquement. C’est à n’y pas comprendre grand-chose. Enregistrement terminal 2 F et visiblement nous avons ensuite été dirigés en zone d’embarquement au bout du terminal 2 E. Mes 12 kgs de bagages cabine portés à bout de bras commençaient à m’épuiser sérieusement. Aurions-nous parcouru 700m à 800 m de couloirs que cela ne m’étonnerait pas. Sans doute récession économique, 1 seul poste d’enregistrement pour tous les vols AIR France ? Et puis, maintenant vous devez vous-même(obligatoirement) imprimer votre billet de vol aux bornes mises à disposition des voyageurs. Pour gagner du temps ou réduire le personnel ? j’ai pensé aux étrangers ou à ceux qui ne savent pas utiliser ces machines électronique, ce n’est pas si simple que cela.
Nous sommes arrivés sur le sol Malgache sous une pluie battante comme prévu à 23h mais sorties de l’aéroport à 1h30 du matin. Pourtant l’avion n’était même pas à la moitié de ses effectifs. Très bonne chose d’ailleurs car j’ai pu faire une bonne sieste dans l’avion en m’allongeant sur la banquette centrale, repos bien mérité tandis que Marie Sidonie s'adonnait à son jeu de cartes préféré. Les nuits précédentes avaient été très courtes. Une autre bonne nouvelle en arrivant m’a réjouie. Pour rejoindre la gare routière de Tananarive du lieu où nous étions hébergées proche de l’aéroport (dans une autre congrégation), il nous aurait fallu quitter à 4h du matin. Alors la sœur qui est venue nous chercher avait réservé le taxi-bus pour le 29 janvier afin de pouvoir nous reposer convenablement le matin et la journée du 28. Tananarive, une mégapole aussi encombrée par les embouteillages qu’à Paris.
Quand au climat, les chants d’oiseaux, des poules, des coqs…. la végé
tation, l’ambiance humide et lourde ne me sont pas inconnus. Je retrouve tous mes souvenirs de la période où j’avais vécu à l’île de la Réunion à St Philippe.
Suite au prochain numéro.
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